KONFERANS, LYANNAJ é MEETING èvè Lé REZISTAN - Jeudi 27 Juin 2024
Publié le 24/06/2024
Meeting Solidarité KANAKY mardi 11 juin 2024
Publié le 10/06/2024
Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Extrait de la déclaration finale de la Conférence mondiale ouverte d’Alger contre la guerre et l’exploitation :
« Nous rejetons le diktat lancé aux organisations ouvrières sommées au nom du prétendu « intérêt général » d’accepter les règles d’une « gouvernance mondiale » et d’un prétendu « dialogue social », dont la seule fonction est de subordonner, d’intégrer les organisations des travailleurs aux plans des gouvernements et des institutions internationales, remettant en cause la souveraineté nationale.
A l’accepter, elles se subordonneraient à ce diktat et s’interdiraient de jouer leur rôle de défense des intérêts des travailleurs et des peuples. Nous affirmons que l’indépendance des organisations ouvrières est une condition de la démocratie, du progrès social, de la souveraineté et de l’indépendance des peuples ». (Alger, 27-28-29 novembre 2010).
L’Organisation Internationale du Travail (OIT) a été créée au lendemain de la première guerre mondiale. La première session annuelle de la Conférence internationale du Travail, composée de deux représentants du gouvernement, d’un représentant des organisations d’employeurs et d’un représentant des organisations de travailleurs de chaque Etat membre, s’est réunie à Washington le 29 octobre 1919. Elle a adopté les six premières conventions internationales du travail qui portent respectivement sur la durée du travail dans l’industrie, le chômage, la protection de la maternité, le travail de nuit des femmes, l’âge minimum et le travail de nuit des enfants dans l’industrie. En moins de deux ans, 16 conventions et 18 recommandations internationales du travail ont été adoptées. Au total, depuis sa création ce sont 188 conventions et 200 recommandations qui ont été adoptées par l’OIT qui sont autant de points d’appui pour la classe ouvrière à l’échelle internationale pour résister à l’exploitation capitaliste. Or, aujourd’hui, sous la pression des grandes puissances et du capital, l’OIT risque de devenir un instrument de la mise en place de « la gouvernance mondiale ».
Après les manifestations en Nouvelle-Calédonie et le vaste mouvement de 46 jours à Mayotte, l’ampleur de ce nouveau soulèvement à la Réunion démontre, une fois de plus, l’intensité du mécontentement général de populations livrées à l’appétit des seigneurs de l’import et de la grande distribution
Porte-parole du LKP, le grand rassemblement qui a conduit le mouvement populaire historique de 2009 en Guadeloupe, Élie Domota fait le point de la situation sur l’île, dans un entretien accordé, pour l’Humanité, à l’avocat Tiennot Grumbach. Face aux tentatives patronales de remettre en cause les acquis de 2009 et à la répression antisyndicale, le LKP affiche sa détermination.
L’UGTG s’associe au combat que mene le CICR en ce moment pour la libération de Valentin Ourousov et de Natalia Sokolova.
Les travailleurs doivent bénéficier d’une protection adéquate contre tous actes de discrimination tendant à porter atteinte à la liberté syndicale en matière d’emploi. Une telle protection doit notamment s’appliquer en ce qui concerne les actes ayant pour but de : subordonner l’emploi d’un travailleur à la condition qu’il ne s’affilie pas à un syndicat ou cesse de faire partie d’un syndicat ; congédier un travailleur ou lui porter préjudice par tous autres moyens, en raison de son affiliation syndicale ou de sa participation à des activités syndicales en dehors des heures de travail ou, avec le consentement de l’employeur, durant les heures de travail.
Les travailleurs et les employeurs, sans distinction d’aucune sorte, ont le droit, sans autorisation préalable, de constituer des organisations de leur choix, ainsi que celui de s’affilier à ces organisations, à la seule condition de se conformer aux statuts de ces dernières. Les organisations de travailleurs et d’employeurs ont le droit d’élaborer leurs statuts et règlements administratifs, d’élire librement leurs représentants, d’organiser leur gestion et leur activité, et de formuler leur programme d’action. Les autorités publiques doivent s’abstenir de toute intervention de nature à limiter ce droit ou à en entraver l’exercice légal.
La représentativité syndicale se mesure en priorité sur la base des résultats des élections au comité d’entreprise ou au comité d’établissement, s’il existe, ou de la délégation unique du personnel, ou, à défaut, des DP.