KONFERANS, LYANNAJ é MEETING èvè Lé REZISTAN - Jeudi 27 Juin 2024
Publié le 24/06/2024
Meeting Solidarité KANAKY mardi 11 juin 2024
Publié le 10/06/2024
Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
An larèl a LKP, les Organisations Syndicales, CGTG, CGT/FO et UGTG ont travaillé ansanm ansanm a
lantou a on lidé, le LIYANNAJ SENDIKAL, pour permettre la négociation et la conclusion d’une convention
collective dans le secteur du Transport Routier de Marchandises et de Personnes en Guadeloupe.
Il est constitué, entre les organisations syndicales ouvrières et les associations de consommateurs agrées soussignés, une association déclarée, régie par la loi de 1901, et qui a pour objet de répondre aux besoins des organisations syndicales et des Associations de consommateurs dans le domaine des recherches statistiques, économiques et de défense des consommateurs...
Après trois séances de négociations avec les concessionnaires auto, un accord a été conclu le mardi 07 juillet 2009 à 23 heures. Cet accord porte sur plusieurs centaines de pièces. Il s’agit de pièces pour toutes les marques et tous les modèles (à l’exception des grosses cylindrées). Alain Plaisir, le camarade dirigeant qui conduit ces négociations au nom du LKP, s’est dit très satisfait de cet accord, car nous sommes tout proche de la revendication initiale qui était de - 20%.
S’agit-il d’une révolution, comme on l’a vu dans l’histoire économique, prise au sens d’une modification des rapports sociaux ? Révolution car, on constate que ce qui est demandé c’est une modification des rapports sociaux entre non seulement patrons et travailleurs mais entre les guadeloupéens et l’ancienne puissance coloniale française. Deuxièmement, révolution car celle-ci désigne aussi la prise en compte d’une société qui est déterminée par tout ce qu’elle a de culturel. Ce qui fait que son histoire, à un moment donné est un carcan tel qu’elle souhaite en sortir. Une révolution n’est donc pas forcément une révolution marxiste, c’est à dire une révolution où les rapports sociaux sont tels, où les contradictions sont telles ... que l’on va passer à un autre mode de production.
Les 44 jours de grève générale lancée par le LKP et la mobilisation du peuple Guadeloupéen, ont permis d’entamer et de réussir la négociation avec les supermarchés, la distribution et la Région Guadeloupe pour faire baisser le prix des marchandises de première nécessité (250 produits). Nous publions la liste des 60 produits pour lesquels le LKP a obtenu une baisse d’octroi de mer par la Région Guadeloupe
Selon l’arrêté d’extension paru vendredi au Journal officiel, le préambule de l’accord Jacques BINO n’est pas étendu car il serait dépourvu "de tout lien avec l’objet d’un accord collectif au sens du code du Travail". Plus grave, l’article 5 qui met à la charge des employeurs ces 200 euros à l’issue des trois ans d’aide de l’Etat n’a pas été étendu car il reviendrait à prévoir "une augmentation générale des salaires au terme des trois ans de l’accord", selon le communiqué.
Depuis la signature le 26 février 2009 de l’Accord BINO par les Organisations patronales UMPEG, UPA, UCEG, UNAPL, OPGSS, représentant près de 20.000 salariés, ce ne sont pas moins de 185 accords, représentant plus de 25.000 salariés et plus de 2000 entreprises qui sont venus renforcer ce dispositif.
Depuis la signature de l’Accord BINO}} par les Organisations patronales UMPEG, UPA, UCEG, UNAPL, OPGSS, représentant près de 20.000 salariés, ce ne sont pas moins de 80 accords, représentant plus de 20.000 salariés et près de 2000 entreprises qui sont venus renforcer ce dispositif. Ainsi, après avoir ‘’traîné les pieds’’, les grandes enseignes ou grands groupes, adhérents à l’UDE-MEDEF, s’engagent les uns après les autres dans l’application de l’Accord BINO...
Cachez ce préambule que je ne saurais voir… proclament toutes les forces de régression sociale depuis la signature, le 26 février dernier, de l’accord Jacques-Bino. Ce préambule est pourtant l’illustration du principe « c’est le fait qui fait le droit ».